Seite - 208 - in Die Macht auf dem Gipfel - Alpentourismus und Monarchie 1760–1910

208 | Casa Reale d’Italia – das italienische Königshaus Abb. 25 : Illustration des Sturzes von Baron Peccoz beim Grenzgletscher 1894. Die mit Hut und Stock versehene Königin Margherita war am selben Seil befestigt und wähnte ihren treuen Begleiter zunächst ohnmächtig. Außerdem hob sie den positiven Charakter ihres verstorbenen Freundes hervor und beschrieb ihre Gefühle : Es ist wahr, dass ich etwas Furchtbares erlebt habe und dass der Schmerz über den Ver- lust dieses so unterwürfigen und loyalen Freundes sehr lebhaft, sehr quälend und sehr tiefgreifend ist ! Alle, die den armen Baron Louis Peccoz näher kannten, haben ihn sehr gemocht, denn er war eine Person von seltener Redlichkeit, Großherzigkeit und rapidité de la Catastrophe, entièrement înnatendue, car nous sommes passés de la gaieté à la mort que pour l’endroit où c’est arrivé au milieu d’un énorme glacier, presque terrible dans la grandeur ! Le Baron Peccoz est rééllement tombé à mes pieds car il ne me quittait jamais dans ces recasions et j’étais attachée à la même corde, et le premier instant J’ai cru que le pied lui avait glissé, et Je me suis empréssée à l’aider quand au froid du Corps qui glissait sous la moindre défense vers une crevasse J’ai compris que c’était quelque chose de plus grave et quand les guides l’ont relevé, nous avons eut la terrible intuition que tout était fini ; pourtant on veut espérer même tous espoir dans le Cas ! Ce qui puis a été terrible, C’est que la force des circonstances et des lieux nous a obligés à faire la partie et à descendre à l’hôtel de Riffelalp plein d’étrangers bruyants ! Je ne rappelle de cette Riffelalp Comme d’un coucheurs affreux ! Je resterais ici jusqu’à la fin de la semaine car au moins Je suis tranquille et au milieu de cette belle et grande Nature on oublie les banalités du monde officiel !« AST, Margherita alla Contessa della Rocca, Gressoney, 8  septembre 1894. Publikation im Sinne der CC-Lizenz BY-NC